Larchey, 1865 : Pou (Vidocq). — Comparaison du pou à une très-petite coquille.
Delvau, 1866 : s. m. Pou, — dans l’argot des faubouriens, qui se rappellent sans doute qu’on donnait autrefois ce nom à un capuchon qui se relevait sur la tête.
France, 1907 : Pou.
La petite bohémienne était gentille à croquer et pas du tout farouche, seulement je m’aperçus qu’elle avait la tête pleine de coquillons.
(Les Propos du Commandeur)