Delvau, 1864 : Les testicules.
O vit ! bande toujours, et vous, couillons propices,
Distillez voire jus,
Pour fixer à jamais les rapides délices
De es sens éperdus.
(Parnasse satyrique.)
Voyez la grande trahison
Des ingrats couillons que je porte :
Lorsque leur maître est en prison,
Les ingrats dansent à la porte.
(Cabinet satyrique.)
Mes couillons, quand mon vit se dresse,
Gros comme un membre de mulet,
Plaisent aux doigts de ma maîtresse
Plus que deux grains de chapelet.
Théophile.