France, 1907 : Faire ses besoins, d’où déflaque, excrément.
Puis il avait peur des enfants, tous salauds qui déflaquent dans les coins et mettent partout une odeur de bran. Sa propreté s’en offusquait à l’avance, comme d’une saleté incurable, et il pensait aussi aux femmes fécondes dont les flancs sont toujours en travail.
(Camille Lemonnier, Happe-chair)