Delvau, 1864 : Abus des plaisirs.
Les excès…— Je n’en connais point, Madame : on n’a jamais assez de plaisir. — Je ne suis pas de cet avis. On peut en avoir trop et perdre par là le charme du désir, plus précieux que le plaisir lui-même.
A. de Nerciat. (Le Diable au corps.)