Clémens, 1840 : Excréments.
Delvau, 1866 : s. f. Le résultat de la digestion, — dans l’argot des voleurs.
La Rue, 1894 : Gadoue. Excréments.
Virmaître, 1894 : La marchandise que l’on abandonne avec satisfaction dans les châlets de nécessité. Mouscailler : faire ses besoins (Argot du peuple).
Hayard, 1907 : Déjections.
France, 1907 : Excréments ; argot des prisons.
Cette semaine on vient de découvrir deux superbes pots aux roses — où les roses sont remplacées par de la fine fleur de mouscaille — qui prouvent surabondamment que si on veut trouver de la justice quelque part, c’est pas dans la turne où règnent les enjuponnés qu’il faut s’égarer.
(Le Père Peinard)
Foutre, non ! Parmi les socialos politicards, il peut y avoir des cocos qui ont de l’honnêteté, mais qué que ça prouve ? Rien, sinon qu’ils manquent de flair. Y a des types qui pourraient écraser 36.000 étrons, pétrir la mouscaille de leurs dix doigts… parce qu’ils ne sentiront rien, c’est-y une preuve que ça ne pue pas ?
(Almanach du Père Peinard, 1894)