Boutmy, 1883 : v. intr. Allier des caractères de force différente, de façon qu’ils s’alignent ensemble. Au figuré, se parangonner, c’est se consolider en s’appuyant ; s’arranger de façon à ne pas tomber lorsqu’on se sent peu solide sur ses jambes.
Virmaître, 1894 : Arranger au moyen d’interlignes des caractères de différents corps (Argot d’imprimerie).
France, 1907 : « Allier des caractères de force différente, de façon qu’ils s’alignent ensemble. Au figuré, se parangonner, c’est se consolider en s’appuyant ; s’arranger de façon à ne pas tomber lorsqu’on se sent peu solide sur ses jambes. »
(Eug. Boutmy, Argot des typographes)