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Peignée

Peignée

d’Hautel, 1808 : Pour batterie, dispute, rixe, querelle où l’on en vient aux coups.
Ils se sont donnés une bonne peignée. Pour, ils se sont battus ; ils se sont arrangés comme il faut.

Delvau, 1866 : s. f. Coups échangés, — dans l’argot des faubouriens, qui se prennent souvent aux cheveux. On dit aussi Coup de peigne. Se foutre une peignée. Se battre.

Rigaud, 1881 : Scène de pugilat entre dames. La peignée a pour synonyme le crêpage de chignons.

France, 1907 : Coups. Recevoir une peignée, être battu.

Mais enfin ils s’accordaient, et ne se fichaient guère de peignées qu’une ou deux fois l’an, aux lundis consacrés fêtes par une loi nouvelle, ce qui est vraiment si peu de chose que cela ne vaut pas la peine d’en parler.

(Marc Anfossi)

Peignée, coup de peigne

Larchey, 1865 : Lutte dans laquelle on s’empoigne aux cheveux, et, par extension, combat.

Les enfants des sans-culottes qui vont se f… un coup de peigne avec les brigands de la Vendée.

1793, Hébert.

Là-dessus, elles commencent à se repasser une peignée des mieux administrées, criant, jurant, se rossant comme deux enragées.

Vidal, 1833.


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