France, 1907 : Cavalier.
Les jours du porte-bottes sont si bien remplis qu’ils semblent s’écouler avec une rapidité dont l’infanterie ne saurait se faire une idée… le cavalier a déjà deux heures de manœuvre dans le ventre que l’homme de pied est encore au lit. Il s’agit de l’été. L’hiver, c’est à l’écurie que le porte-bottes précède de beaucoup le réveil de ses bons voisins les guêtrés.
(C. Dubois de Gennes, Le Troupier à cheval)