d’Hautel, 1808 : Prise de gueule. Discours grossiers, paroles injurieuses, gros mots, sottises que se disent entre elles les femmes de la halle, lorsqu’elles se prennent de dispute.
Il ne vaut pas une prise de tabac. Pour dire que quelque chose est de nulle valeur.
Delvau, 1866 : s. f. Mauvaise odeur respirée tout à coup, — dans l’argot du peuple.
Rigaud, 1881 : Mauvaise odeur. — Prendre une prise, une fameuse prise, respirer une mauvaise odeur, être suffoqué par des émanations fétides.
La Rue, 1894 : Mauvaise odeur.
France, 1907 : Mauvaise odeur.