d’Hautel, 1808 : Promener quelqu’un. Se jouer, se moquer finement de lui ; abuser de sa simplicité, de sa bonne foi, de sa crédulité, soit en le faisant parler long-temps, soit en l’engageant dans de fausses démarches, et dans la vue secrète de le tourner en suite en ridicule.
Va te promener. Pour va-t-en, retire-toi ; laisse moi tranquille.