Fustier, 1889 : Hôtel garni. Argot des voyous.
Les garnis sont le plus bel ornement de la rue. Ils ont aussi leurs noms : reposoirs ou assommoirs.
(Henri IV, 1882.)
France, 1907 : Lieu de recel ; argot des voleurs.
Le reposoir, tenu par le fourgat, est un lieu de recel pour le criminel qui ne travaille qu’en ville.
(Mémoires de M. Claude)
France, 1907 : Hôtel meublé, cabaret de bas étage, logements pour voleurs et prostituées.
Paris, en dépit de ses démolitions… renferme toujours des tapis-francs, comme au temps d’Eugène Sue. Leurs noms seuls ont changé. Ce sont des Ribines, des Reposoirs, des Assommoirs dont le Château-Rouge possède, en fait d’alphonses, d’escarpes ou de gonzesses, la fleur du panier.
(Mémoires de M. Claude)