Fustier, 1889 : Expression empruntée au service des caporaux et des sous-officiers. Ex. ; C’est à moi que tu contes cela ? je ne suis pas de semaine. — Moyen expéditif de faire rompre un fâcheux.
(Ginisty, Manuel du parfait réserviste)
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Semaine
Fustier, 1889 : Expression empruntée au service des caporaux et des sous-officiers. Ex. ; C’est à moi que tu contes cela ? je ne suis pas de semaine. — Moyen expéditif de faire rompre un fâcheux.
(Ginisty, Manuel du parfait réserviste)
Semaine (n’être pas de)
Merlin, 1888 : Ne pas avoir à se mêler d’une affaire. — Chaque caporal ou sous-officier doit assurer le service pendant une semaine, cela à tour de rôle ; en temps ordinaire, il est libre et n’est soumis qu’aux obligations générales du service.
Semaine des quatre jeudis
Delvau, 1866 : s. f. Semaine fantastique, dans laquelle les mauvais débiteurs promettent de payer leurs dettes, les femmes coquettes d’être fidèles, les gens avares d’être généreux, etc. C’est la Venue des Coquecigrues de Rabelais. On dit aussi : La semaine des quatre jeudis, trois jours après jamais.
France, 1907 : Jamais.
Semaines
Delvau, 1866 : s. f. pl. Sous de poche distribués le samedi et le dimanche. — dans l’argot des collégiens.
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