Delvau, 1864 : Liqueur de la génération ; le foutre de l’homme et de la femme.
Au jeûne où votre con se trouve,
Vouloir faire une fine épreuve
Si je mit bélier ou mouton.
Vous eussiez eu de la semence.
D’un vit dont la grandeur immense,
N’eut jamais de comparaison.
F. De Maynard.
Dix-huit jours après qu’elles avaient reçu la semence.
Ch. Sorel.