France, 1907 : Tête de carton ou de bois sur laquelle les modistes ajustent leurs chapeaux et les coiffeurs leurs perruques. Mannequin de couturière.
De toutes les personnes peu accoutumées à la vertu quotidienne, il n’y en a guère qui le soient moins que les vieilles ou jeunes dames qui, maquillées jusqu’a la ressemblance parfaite avec les sidonies des coiffeurs de banlieue et trainant des robes louées par la marchande à la toilette, où s’accrochent des diamants prêtés par l’entremetteuse, se promènent dans les promenoirs des music-halls ou des jardins où l’on danse.
(Catulle Mendès)