France, 1907 : Prude. Faire sa Sophie, prendre des airs de prude ; s’effaroucher pour des vétilles.
— Que ces demoiselles du couvent des Oiseaux fassent donc un peu moins leur Sophie avant le mariage et qu’elles soient un peu moins rosses après. C’est la grâce que je leur souhaite.
(Jean Deslilas)
D’abord ej’comprends pas qu’on s’gène
Ej’suis ami d’la liberté,
J’fais pas ma Sophie, mon Ugène,
Quand ej’pète, ej’dis : j’ai pété.
(A. Bruant)
France, 1907 : Menstrues ; à cette époque, la femme est obligée de faire sa Sophie. On dit voir Sophie.
— Viens-tu ? – Non, pas ce soir, je vois Sophie.
(Dialogues de la rue)