Rigaud, 1881 : Apprenti voleur à la tire.
Vêtus très mesquinement, souvent même en blouse, ils se bornent à fouiller les poches des habits et des paletots, et exploitent ordinairement les curieux qu’un événement fortuit rassemble dans les rues ou qui forment cercle autour des chanteurs ou des saltimbanques.
(Mémoires de Canler, 1862.)