Larchey, 1865 : Logis malpropre. Du vieux mot tourn : petite tour, et par extension Prison. comme castuc.
L’immeuble !… je me suis tout de suite souvenu de cette turne.
Montépin.
Delvau, 1866 : s. f. Chambre malpropre, logis de pauvre, — dans l’argot des faubouriens.
Rigaud, 1881 : Chambre de pauvre. — Méchante habitation.
La Rue, 1894 : Mauvais logis.
Virmaître, 1894 : Poussier, taudis, logement malpropre et insalubre, sans air ni lumière.
— Si tu restes éternellement dans ta turne, tu ne trouveras jamais rien à briffer.
— Comment peux-tu rester dans une pareille turne ! (Argot du peuple).
Hayard, 1907 : Maison, domicile, atelier.
anon., 1907 : Chambre.