d’Hautel, 1808 : Fait comme un voleur. C’est-à-dire déguenillé, malproprement vêtu ; mal habillé.
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Voleur
d’Hautel, 1808 : Fait comme un voleur. C’est-à-dire déguenillé, malproprement vêtu ; mal habillé.
Voleur au croquant
Virmaître, 1894 : Voleur qui dévalise les paysans. Ce sont les grinchisseurs de cambrousse. (Argot des voleurs).
Voleur d’étiquettes
France, 1907 : Fourrier, dénommé ainsi dans l’argot militaire parce qu’il est accusé par les soldats de voler les étiquettes placées à la tête du lit de chaque homme, afin d’en faire payer de nouvelles.
Voleur de chevaux (crier comme un)
France, 1907 : Parler bas ; expression du Centre.
Voleurs
Boutmy, 1883 : s. m. pl. Morceaux de papier qui se trouvent collés aux feuilles durant l’impression (Vinçard), et qui produisent des moines sur la feuille imprimée. Momoro les appelle Larrons.
Voleurs d’étiquettes
Merlin, 1888 : Chaque soldat doit être pourvu de deux étiquettes portant son nom et son numéro matricule et destinées à faire reconnaître ses vêtements et son fusil. Les fourriers sont chargés de les en munir ; mais les soldats les accusent souvent de faire du fourbi et de soustraire ces étiquettes, pour avoir, — contre rémunération, bien entendu, — à les remplacer et souvent… par les mêmes.
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